I WAS LOOKING AT THE CEILING AND THEN I SAW THE SKY

de John Adam
mis en scène par Eugen Jebeleanu

« I Was Looking at the Ceiling and then I Saw the Sky est né dans les Etats-Unis des années 90, au cœur d’une situation politique complexe, au sein d’une société discriminatoire, raciste et conservatrice. Un quart de siècle plus tard, Donald Trump est au pouvoir et la situation ne semble pas avoir trouvé de dénouement dans une politique qui propage la haine, l’exclusion et le nationalisme. Des murs à ériger pour les uns, des murs à détruire pour d’autres. De nos jours, des mouvements tels que Black Lives Matter, initié en 2013, nous rappellent que les brutalités policières, les meurtres perpétués par la police sur les Afro-Américains et les discriminations « raciales » dans les jugements rendus par le système de justice américain, sont toujours, hélas, d’une actualité brûlante. » Eugen Jebeleanu

Représentations du 13 au 23 février 2020 au Théâtre de la Croix Rousse – production Opéra de Lyon

Presse

Les jeunes solistes du Studio de l’Opéra de Lyon, tous aussi bons chanteurs qu’acteurs, sont accompagnés d’un ensemble instrumental placé au centre du plateau et mené par Vincent Renaud. Tous les artistes donnent une véloce et revigorante version de la partition. Colorées, électrisées, les mélodies sentimentales ou plus survoltées regorgent de vivacité. Grâce à eux, I was looking at the ceiling and then I saw the sky chante à nouveau la liberté de circuler, d’aimer, d’exister

SCENE WEB – Christophe Candoni

Les solistes du Studio de l’Opéra de Lyon équilibrent la précision de la diction avec un lyrisme qui se conjugue à l’engagement théâtral de la comédie musicale. L’ensemble rend justice à la nature hybride dans l’écriture de l’ouvrage

OLYRIX – Gilles Charlassie

Avec cette dernière création, Eugen Jebeleanu et Yann Verburgh témoignent de leur capacité à s’approprier avec finesse d’autres formes que le théâtre. Sans surajouter à la densité essentielle de cet opéra-pop, ils nous invitent avec tous les artistes, à en redécouvrir les subtilités par une composition esthétique soignée et un rigoureux travail de direction. Un moment jubilatoire

WANDERER – Thierry Jallet

L’accueil chaleureux accordé par le public lyonnais à cette œuvre originale peu connue du grand public est une récompense méritée par l’ensemble de la troupe

REGARDS EN COULISSES – Dan Rénier

On ne peut que louer la mise en scène très fluide de Eugen Jebeleanu et la remarquable direction d’acteurs, le tout évoquant certains tableaux de Hopper, et plus généralement des scènes très réussies de cinéma.

CLASSIQUES NEWS – Jean-François Lattarico

production Opéra national de Lyon | coréalisation Théâtre de la Croix-Rousse – Lyon

composition John Adams | livret June Jordan | direction musicale Vincent Renaud |mise en scène Eugen Jebeleanu

avec Alban Zachary Legos, Clémence Poussin, Christian Joel, Axelle Fanyo, Aaron O’Hare, Biao Li, Louise Kuyvenhove
Elsa Loubaton clarinette | José Carlos Garcia Bejarano saxophone | Corentin Quemener percussions, batterie | Sylvaine Carlier, Hiroko Ishigame, Graham Lilly clavier | Nicolas Frache guitare électrique| Michel Molines contrebasse, basse électrique

dramaturgie Yann Verburgh | décors et costumes Velica Panduru | lumières Marine Le Vey

équipe technique de l’Opéra de Lyon
Maxence Ellul, Hervé Lautissier et Jérémy Steunou électriciens | Véronique Fontin accessoiriste | Caroline Martin régisseuse son | Rachel Martin habilleuse | Elena Morar régisseuse de scène | Philippe Sagnes directeur technique | Josselin Sicot régisseur de production

équipe technique du Théâtre de la Croix-Rousse
Moritz Arndt et Camille Wolff apprentis lumière | Christophe Braconnier chef électricien | Yannick Buffat régisseur son | Léa Decoster électricienne | Didier Hirth et Thibault Villalta machinistes | Joachim Richard chef machiniste | Gilles Vernay directeur technique

construction du décor Ioan Moldovan / Atelier Tukuma Works
photographie dans le décor Would-Be Martyr and 72 Virgins, 2008 ©David LaChapelle Courtesy of Templon

Crédit photo Adi Bulboaca & Blandine Soulage