PUISQU’IL FAUDRA BIEN QU’ON S’AIME

de Yann Verburgh
mis en scène par Eugen Jebeleanu

Rapport d’enquête
Durée : 55 mn, le temps d’un cours au collège

Un auteur nous livre son carnet de route après 3 jours d’immersion dans un collège, à la rencontre des élèves et des salariés de l’établissement.

Comment trouve-t-on sa place ? Comment l’aimerait-on ? Quelles similitudes entre la salle de classe et le «monde des adultes», dans un pays où la liberté s’effrite au nom de la sécurité, où l’ostracisme s’institutionnalise au nom de l’économie, où la solidarité semble vouloir s’écrire au passé ? Et si l’on avait le pouvoir de réécrire les règles du jeu ?

Le collège Gérard Philipe (Paris 18ème), classé REP (réseau d’éducation prioritaire), a accueilli Yann Verburgh, en mai 2016, sur le temps du Festival les Hauts Parleurs, pour 3 jours d’immersion. De la salle des profs au bureau de la proviseure, en passant par le réfectoire, le CDI et les casiers du gymnase, le recueil des rêves, des préoccupations et des témoignages des élèves et des salariés de l’établissement sur les questions de solidarité et d’exclusion, d’amour et de violence.

 

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